martes, 22 de enero de 2013

Actualité: Victime d'un viol collectif, une jeune indie se suicide

Une adolescente indienne, victime d'un viol collectif, s'est suicidée après qu'un policier eut tenté de la convaincre de retirer sa plainte et d'épouser un de ses violeurs, a-t-on appris jeudi 27 décembre auprès de la police et de ses proches. La jeune fille, âgée de 17 ans, a avalé du poison et a été retrouvée morte mercredi soir. Son suicide intervient après un autre viol collectif d'une étudiante dans un autobus à New Delhi le 16 décembre, qui a provoqué une vague d'indignation en Inde. L'état de santé de la victime est extrêmement grave.
                                                         Le Monde, 27/12/2012.
Ce fait divers a profondément choqué le pays et ému la communauté internationale.
Des milliers de femmes sont descendues dans les rues de New Delhi pour demander plus de sécurité et une meilleure prise en compte des violences faites aux femmes, par la police et la justice, réputées laxistes dans une société encore largement dominée par les hommes.

Actualité: L'intervention française au Mali

Au Mali, une intervention française aux contours incertains. 
Le Monde Diplomatique.  Jeudi 17 janvier 2013 


Pour quels objectifs la France s’est-elle engagée militairement au Mali ? Pour empêcher des « terroristes islamistes » de prendre Bamako ? Pour reconquérir le Nord du pays ? Pour rétablir une légalité démocratique, ébranlée par une tentative de coup d’Etat ? Pour contribuer à « la guerre contre le terrorisme » et éviter la création d’un « Sahelistan » aux portes de l’Europe ? Alors qu’en représailles à cette intervention, des djihadistes ont organisé une prise d’otages en Algérie qui semble s’acheminer vers un désastre, ce sont autant de questions auxquelles il n’est pas facile d’apporter des réponses, tant les déclarations officielles à Paris restent floues. Décidée dans l’urgence à l’appel d’un gouvernement à la légitimité ébranlée, cette expédition prend une ampleur inattendue, alors même que les pays africains tardent à s’engager et que les partenaires européens et américain se contentent de promettre un appui logistique. Sans buts clairs, le risque est grand d’assister à un enlisement et à faire ainsi le jeu des groupes les plus radicaux qui veulent « attirer » les Occidentaux dans des conflits sans fin : les guerres d’Irak et d’Afghanistan ont-elles réduit la menace terroriste ou l’ont-elles, au contraire, alimentée ? L’expédition au Mali repose aussi la question des relations de la France avec le continent africain, de ses responsabilités, de ses méthodes d’action. Le temps de la Françafrique est, paraît-il, terminé. Pourtant, si les ressources de l’Afrique suscitent encore bien des convoitises, la volonté de contribuer à un développement économique, social et politique du continent semble absente des préoccupations européennes ou des organisations financières internationales. Mais seul ce développement peut garantir, à long terme, la stabilité et la prospérité.
Intervention militaire au Mali: l'analyse des experts.


France 24. Permières images de l'intervention française.

domingo, 20 de enero de 2013

Aforismos y microrrelatos

El último día os propuse elaborar algunos aforismos o microrrelatos sobre las cuestiones que hemos debatido en esta unidad: el conflicto, la negociación, la no-violencia, la obediencia y la desobediencia...
 Voy a intentar ayudaros a aclarar estos términos, y a daros algunos ejemplos:

L’aphorisme, du grec aphorismos αφοριζειν (« définir, délimiter ») est une sentence énoncée en peu de mots — et par extension une phrase — qui résume un principe ou cherche à caractériser un mot, une situation sous un aspect singulier. D'une certaine manière, l'aphorisme se veut le contraire du lieu commun. Par certains aspects, il peut se présenter comme une figure de style lorsque son utilisation vise des effets rhétoriques.
L'aphorisme est un énoncé autosuffisant. Il peut être lu, compris, interprété sans faire appel à un autre texte. Un aphorisme est une pensée qui autorise et provoque d'autres pensées, qui fraye un sentier vers de nouvelles perceptions et conceptions. Même si sa formulation semble prendre une apparence définitive, il ne prétend pas tout dire ni dire le tout d'une chose.

Les aphorismes sont un genre avant tout rhétorique et argumentatif. C'est pourquoi il a été le mode d'expression préféré des moralistes comme Jean de La Bruyère dont Les Caractères sont ponctués, à côté des longs portraits et d'éthopées, de courtes sentences. Nietzsche, dans le traité Humain, trop humain pose que l'aphorisme doit être décodé par le lecteur, comme s'il contenait un message subliminal ou caché ; il parle de la nécessité d'avoir « une lecture lente » ou ce qu’il appelle « une rumination ».
Mais ce sont les moralistes français, en particulier La Rochefoucauld et Vauvenargues — on parle alors d'« aphoristes » — qui consacrent l’aphorisme et en font même un genre littéraire. Le premier de ces auteurs dans ses Sentences et maximes de morale (1634) pose qu'il s'agit d'un exercice d'introspection destiné à analyser l'amour-propre.
(Source: widipedia.fr) 


Un ejemplo de aforismo sobre la guerra es el siguiente:

« La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas. » (Valéry)


La micronouvelle (parfois aussi appelée microroman) est un récit imaginaire, suggestif, parfois caustique, rédigé en un nombre extrêmement restreint de mots. C'est la forme la plus concise de récit littéraire prosaïque, parfois proche du poème par le rythme qu'il imprime.
Dos ejemplos:
José Antonio Martín
"Cuento que me contó una vez mi hija Adriana fastidiada de que le pidiera un cuento: HABÍA UNA VEZ UN COLORÍN COLORADO"
 William Ospina
"Amenazas"
-Te devoraré –dijo la pantera.
-Peor para ti –dijo la espada

L'intelligence émotionnelle

"La inteligencia emocional es una forma de interactuar con el mundo, que tiene muy en cuenta los sentimientos y engloba habilidades tales como el control de los impulsos, la autoconciencia, la motivación, la empatía, la agilidad mental, etcétera.
Estas habilidades configuran rasgos de nuestro carácter, como la autodisciplina, la compasión o el altruismo, que resultan indispensables para una buena y creativa adaptación social".
       Daniel Goleman, Inteligencia emocional (1995)


En la segunda mitad del siglo XX, psicólogos como el estadounidense Howard Gardner comenzaron a hacer hincapié en la existencia de múltiples tipos de inteligencia, incluyendo entre ellas la inteligencia intrapersonal (capacidad de reconocer e identificar las propias emociones, impulsos y sentimientos) y la inteligencia interpersonal (capacidad de ponerse en el lugar de los demás y comprender su mundo personal). Pocos años más tarde, otro psicólogo norteamericano, Daniel Goleman, extendería el concepto de inteligencia emocional por diferentes ambientes culturales y científicos.
 A continuación os dejo con una entrevista de Eduard Punset a Howard Gardner, profesor de Cognición y Educación de la Universidad de Harvard, realizada en Avilés, el pasado 18 de octubre del 2011 sobre el tema de las inteligencias múltiples.
L'intelligence émotionnelle (IE) désigne une capacité, pour un individu, dans le cas du trait de modèle IE, à identifier, accéder et contrôler ses émotions, celles des autres et d'un groupe. C'est un concept qui a été popularisé notamment par l'écrivain et psychologue américain Daniel Goleman, qui présente ce concept dans son ouvrage L'Intelligence émotionnelle (Emotional Intelligence: Why It Can Matter More Than IQ). L'idée est de dépasser le traditionnel quotient intellectuel (QI) comme moyen de mesure de l'intelligence. Cette combinaison de science et de croyance optimiste dans le potentiel humain a attiré une très grande couverture médiatique, si bien qu’elle fit la couverture du célèbre magazine Time sous le titre de « What’s your EQ ? » (Quel est votre coefficient émotionnel ?). La journaliste Nancy Gibbs y déclarait entre autres : « ce n’est pas votre QI. Ce n’est même pas un nombre. Mais l’intelligence émotionnelle peut être le meilleur prédicteur du succès dans la vie, redéfinissant ce que c’est que d’être intelligent. Il existerait plusieurs raisons concernant un tel intérêt sur l'intelligence émotionnelle. Tout d'abord, la majorité des auteurs considèrent que l'intelligence émotionnelle peut être développée et entraînée, ouvrant de ce fait les portes d'un nouveau marché juteux (livres, formations, coaching, etc.). Ensuite, les affirmations de Goleman (1995a) selon lesquelles l’IE pourrait prédire le succès académique et professionnel mieux que ne le fait le quotient intellectuel (QI), ont reçu un excellent accueil de la part du public américain. le concept d'intelligence émotionnelle venait également contrer les affirmations de Richard Herrnstein et Charles Murray (1994) dans leur livre The Bell Curve où les auteurs présentaient l’intelligence comme le meilleur prédicteur de la réussite dans de nombreux domaines (école, travail, vie sociale, etc.). Ils y affirmaient également que l'intelligence dépendait fortement du milieu socio-économique et que la distribution différentielle de celle-ci selon les différents groupes socioculturels déterminait en grande partie les chances de succès scolaire ou professionnel des différents groupes sociaux. Ce message pouvait au choix être considéré comme pessimiste pour les classes sociales moins favorisées, ou au contraire comme une incitation à un effort plus poussé envers ces dernières. L'intelligence émotionnelle, présentée par Goleman comme une compétence également distribuée à travers toutes les classes sociales et pouvant être développée, peut de son côté soit redonner un message d'espoir, soit inciter les pouvoirs publiques à ne pas intervenir.
Source: wikipedia.fr Cuestiones: - ¿Qué grado de importancia crees que tiene la inteligencia emocional en el desarrollo personal, entre los distintos tipos de inteligencia? - ¿Qué conexión establece Goleman entre la inteligencia emocional y la pertenencia a una clase social? ¿Y cuál es la crítica a este respecto que aparece en el texto?

El aprendizaje de las emociones

Como hemos comentado en clase, ha existido y existe en ocasiones en nuestra cultura científico-técnica escaso interés por la dimensión afectiva del ser humano. Se ha desarrollado así cierta incultura afectiva y emocional en una sociedad capitalista que valora más la competencia y el éxito individual que la solidaridad o el cuidado de los otros.
Muchas emociones son creaciones culturales que pueden variar mucho de una culturas a otras. Desde la antropología se han dividido las sociedades en culturas de la vergüenza y culturas de la culpabilidad. Nuestra cultura pertenecería al último tipo, como muestra este popular chiste de una madre judía: cada madre judía regala a su hijo, cuando cumple la edad juvenil, una corbata roja y otra azul. Si el hijo se pone la corbata roja, la madre le hará el comentario: "...sabía que la corbata azul que te he regalado no te gustaría"; si el hijo se pone la corbata azul: "sabía que la corbata roja que tu madre te regaló no te gustaría...". Siempre se pierde y la culpabilidad se instala. El psicoanálisis, con Freud, se encargaría de analizar con profundidad este sentimiento de culpa.

Según E.R.Dodds, reputado lingüista y especialista en el mundo clásico, los griegos áticos del siglo V a.C. y sus predecesores jonios, se referían al "yo" con la palabra psykhé, traducible por el yo emocional más que por el yo racional. Nuestros ya lejanos ancestros griegos consideraban la psykhé como sede del valor, de la pasión y la compasión, de la ansiedad y del apetito animal. De hecho, nunca se mencionó la psykhé como sede de la razón con anterioridad a Platón. En este sentido, los griegos del siglo V a.C. imaginaban la psykhé - las emociones- habitando algún lugar de las profundidades del organismo, desde donde hablaban a su dueño con voz propia. La emociones griegas no eran prisioneras del cuerpo, como promulgó más tarde el mundo cristiano, sino que eran entendidas justamente como la vida o el alma que anima el cuerpo. En él se sienten a gusto, como en su propia casa. Y no es una mala forma de describirlo. Nuestra ciencia ha corroborado lo mismo a partir de los estudios de psicobiología y de neuroanatomía: las emociones habitan el cuerpo de forma global, en forma de péptidos que se distribuyen por todos los órganos y tejidos. Es decir, todo el cuerpo responde al lenguaje químico de las emociones, las vive. Los griegos clásicos, como la casi totalidad de sociedades no cristianas y no industrializadas, no creían en el más allá ni en un determinado orden natural sino que sentían deliberadamente la vida. Las emociones primaban, eran la realidad a partir de la que se construían las relaciones con el mundo. Así por ejemplo, los alimentos y juegos que dejaban los griegos en las tumbas de sus muertos - ya desde tiempos neolíticos- no era la respuesta a una abstracta creencia en el más allá sino que era una respuesta directa a sus impulsos emocionales inmediatos, sin que mediase ninguna teoría abstracta sobre la permanencia de las almas. Como cuando un niño da de comer tierna y cuidadosamente a su caballito de juguete: se abstiene de matar su vivencia emocional aplicando criterios de racionalidad al objeto muerto; a pesar de ello, el niño sabe perfectamente que el caballito es un juguete inerte. No obstante la gran importancia de las emociones, estamos aun muy lejos de entender en su totalidad qué son y cómo se producen. Y estamos más lejos aun de comprender hasta dónde configuran y son modeladas a la vez por cada cultura. Solo sabemos que juegan un papel básico en nuestra producción cultural, lo mismo que los EMC. A pesar de ello, ha habido escasos intentos de clasificar las culturas partiendo del tratamiento y socialización que dan a las emociones. Muy pocos trabajos antropológicos se han interesado en construir una Teoría Cultural de las Emociones y es en este sentido que la actual psicología cultural-evolutiva está ocupando un territorio que hubiera debido labrar la antropología.  Fuente: Josep Mª Fericgla

A continuación os propongo ver el siguiente reportaje del programa Redes (La 2)sobre la importancia y utilidad de las emociones.
El profesor Daniel Goleman también ha investigado sobre la gestión de las emociones desde un punto de vista psicológico. A continuación, podéis ver y leer un fragmento de su entrevista en el programa Redes:
Ahora estamos descubriendo que enseñar habilidades sociales y emocionales a los niños desde que tienen cinco años hasta la universidad es muy eficaz, los vuelve mucho más cívicos, mucho mejores estudiantes. Es un error pensar que la cognición y las emociones son dos cosas totalmente separadas. Es la misma área cerebral. De modo que, ayudar a los niños a gestionar mejor sus emociones significa que pueden aprender mejor. Ahora estamos estudiando los métodos contemplativos que se han venido utilizando durante... ¡siglos! Y en el catolicismo también, por cierto, no sólo en el budismo. Toda gran religión ha utilizado alguna vez algún tipo de práctica contemplativa, de desarrollo de la mente. Nosotros lo estamos estudiando para ver si podemos aprovecharlo y hacer algo por los niños, para ayudarles a concentrase... Hoy en día los niños, y también sus padres, son muy dispersos y necesitan más ayuda con esas habilidades. Hoy en día, probablemente, haya sólo una docena de currículos escolares que enseñen a los niños mindfulness, que les enseñen a concentrarse mejor, a focalizar, a hacer introspección y a ser más compasivos, a estar más atentos. Y en todos estos casos, se trata de programas piloto. Desde 1995, cuando escribí La inteligencia emocional, ha habido cientos de programas sobre aprendizaje social y emocional y creo que va a ocurrir lo mismo con este campo en la próxima década.
Programa de la serie Redes dedicado a la importancia de las emociones para la supervivencia. Cuestiones: - En el texto anterior hay varios ejemplos de la diversidad cultural de las emociones. ¿Podrías comentar algunos de esos ejemplos? - ¿Qué importancia tiene el aprendizaje de las emociones en la educación de los niños?

viernes, 11 de enero de 2013

Notas para una disertación: la buena vida

Voy a intentar daros alguna ayuda para la disertación sobre "la buena vida" que os propuse.

Savater también intenta dar una respuesta a esta pregunta en su libro Etica para Amador, especialmente en el capítulo 4, titulado precisamente "La buena vida". En capítulos anteriores, si os acordáis, Savater había intentado explicar de qué va la ética y nos había hablado de las órdenes, costumbres y caprichos que guían nuestra conducta. Pero luego nos había explicado que éstas no bastaban, que debíamos hacer uso de la libertad para que nuestra acción fuera realmente moral, y había propuesto solo un precepto como guía de la acción moral: "Haz siempre todo lo que quieras". Y esto podría valer como ejemplo de "buena vida". Pero, y aquí vienen los matices, ¿es lo mismo "hacer lo que quiero" y "hacer lo primero que me venga en gana"? ¿No debemos pensar primero con detenimiento qué es lo que real y libremente queremos, sin coacciones ni rutinas?  
"Si merece la pena interesarse por la ética -afirma Savater- es porque nos gusta la buena vida. Sólo quien ha nacido para esclavo o quien tiene tanto miedo a la muerte que todo le da igual (...) vive de cualquier manera".
Pero, además, "la buena vida humana es buena vida entre seres humanos o de lo contrario puede que sea vida, pero no será ni buena ni humana". Por eso, "darse la buena vida no puede ser algo muy distinto a fin de cuentas de dar la buena vida". 
 Savater nos pone como ejemplo el final de una famosa película, Ciudadano Kane, en la que el protagonista, un multimillonario, muere murmurando una palabra: Rosebud (el nombre escrito en un trineo en el que jugaba cuando era niño, una época sin riquezas, pero donde todavía vivía rodeado de afecto).



Si hacemos un rastreo aleatorio en internet a través de un buscador, encontraremos asociado el término "buena vida" a restaurantes, hoteles, villas de lujo, programas de radio sobre las tendencias en moda, belleza y diseño, o sobre ocio y gastronomía... Esto puede darnos qué pensar.
Si ponemos en el buscador la palabra en francés, la belle vie, encontramos una antigua y muy popular canción de Sacha Distel, compuesta en 1962 y que tuvo un gran éxito. En ella se nos habla de la buena vida como una vida sin amor, sin preocupaciones, sin problemas, libre, entre amigos y noches en blanco que terminan en bellos amaneceres.

La canción cruzó el charco y se convirtió en un gran éxito en E.E.U.U. en la voz del cantante Tony Bennett, bajo el título The Good Life. Aquí la letra cambió un tanto, quizás por el puritanismo dominante en la otra orilla, y hablaba del posible reverso de esa "buena vida", cómo el ideal de la buena vida, de la diversión, puede ocultar la tristeza o el falso amor.

Otra versión más actual, con una letra que identifica la buena vida con el consumismo y la tarjeta de crédito, es la de la chica Disney Hannah Montana, con su tema The Good Life. ¿Os identificáis con esta idea de "buena vida"?

Y para quitarnos el fuerte sabor a azúcar del tema anterior, una versión más pesimista y dura de estos tiempos, la del grupo Three Days Grace.

Siguiendo en este rastreo de la buena vida en la red y en la cultura popular, hemos puesto en el buscador la frase italiana la dolce vita. Y aparece una película italiana de 1960 dirigida por Federico Fellini.
El filme presenta una serie de noches y mañanas a lo largo de la Via Veneto en Roma, vistas desde los ojos de su personaje principal, un reportero de crónicas sociales llamado Marcello (interpretado por Marcello Mastroianni). Marcello es un hombre que no está comprometido con nada, como lo demuestran sus relaciones con su simple y celosa amante Emma (Yvonne Furneaux), con una sofisticada mujer (Anouk Aimée) con la cual tiene una relación temporal, y una espectacular actriz sueca de nombre Silvia (Anita Ekberg) a la cual sigue mientras ésta vaga en Roma (incluyendo la notable escena de su baño nocturno en la Fontana de Trevi) y con una multitud de otros personajes que habitan en Via Veneto. La película fue prohibida en España por la censura debido a que el periódico del Vaticano, L'Osservatore Romano, la calificó de obscena. No se estrenó en España hasta 1980.


Por último, os dejo un tema español de un grupo de mi época de estudiante (años 80). Un tema titulado "Autosuficiente" del grupo Parálisis permanente. Eran tiempos difíciles, como los de ahora. Quizás de ahí esta visión entre estoica, narcisista e individualista de la canción y de la buena vida.


Ánimo y buen trabajo.

miércoles, 9 de enero de 2013

Le rap politique ou le rap conscient.

 Nous avons déjà vu le rap de Keny Arkana dans l'unité sur le conflit. Maintenant je voudrais vous parler, plus étendument, du rap politique ou rap "conscients" français.

Le rap politique (ou rap conscient) est un style de rap se caractérisant par la dimension politique de ses paroles et ses thématiques sociétales. 
Le 18e arrondissement de Paris est la terre d'origine du rap politique français. Il s'agit d'une mosaïque de quartiers populaires au nord du centre ville parisien : Barbès-Marcadet poissonniers rue de la Goutte d'Or, Porte de la Chapelle, Clignancourt...
À la fin des années 1980, cet arrondissement a vu la naissance du groupe Assassin composé à l'époque de Rockin' Squat, Solo, DJ Clyde et Doctor L. Le rap français étant très jeune à cette époque, le groupe lui offrit une conscience, un esprit. Depuis, beaucoup de groupes de rappeurs se font connaître mais sans grand succès. La scène Hip-Hop du 18e arrondissement est marquée par son désir d’underground : les rappeurs ne signent que rarement sur des majors.

 
Les rappeurs "conscients" se voient avant tout comme des journalistes des banlieues, estimant que les médias donnent un aperçu très partiel de leurs quartiers. Déjà, IAM dénonçait dans "Petit Frère":
 Les journalistes font des modes, la violence à l'école existait déjà / De mon temps, les rackets, les bastons, les dégâts/ Les coups de batte dans les pare-brises des tires des instituteurs/ Embrouilles à coups de cutter/ Mais à en parler au journal tous les soirs ça devient banal/ Ça s'imprime dans la rétine comme situation normale… 


Pendant les émeutes de banlieue en 2005, Axiom écrit (après Boris Vian et Renaud) "Ma lettre au Président" dont l’accompagnement est samplé sur La Marseillaise. Il s’en prend alors à Sarkozy et la classe dirigeante en général et reprend un thème : l’appel à une 6e République. Les réactions ne tardent pas : en trois semaines, il reçoit des lettres venues du monde entier et finalement, une réponse du président de l'époque Jacques Chirac. Il est alors considéré comme un porte-parole des quartiers populaires, considération qu'il refuse. (Source: wikipedia).

 

martes, 8 de enero de 2013

Actividades para el 2º trimestre

Hoy comentamos en clase algunas de las actividades propuestas para el 2º trimestre. Os las recuerdo:

- Lecturas.
En este blog os he ido proponiendo algunas lecturas voluntarias para la asignatura (libros disponibles en la biblioteca del Centro y artículos depositados en Consejería). Tras su lectura podéis realizar la ficha modelo que tenéis también en este blog.
Continuamos asimismo con la lectura del libro "Ética para Amador" (capítulos 3 al 6), del que utilizaremos algún fragmento o cuestión para la prueba o examen del trimestre.

- Disertaciones.
 Continuaremos también proponiendo la elaboración de disertaciones o reflexiones escritas sobre alguna cuestión ética de interés. Para el próximo 15 de enero os propuse un tema: "La buena vida". Los mejores podrán ser enviados al concurso de la editorial Ariel.
Os recuerdo que la disertación se debe estructurar de la siguiente manera:
-Introducción: interés, pertinencia y actualidad de la cuestión propuesta a debate.
-Desarrollo: distintos enfoques del problema, elección y justificación del propio punto de vista, argumentos a favor y en contra, rebatir los argumentos en contra de la posición defendida.
- Conclusión: recapitulación de la cuestión y de los avances conseguidos en la reflexión crítica sobre el problema. Cuestionamiento de las ideas previas y prejuicios. Cuestiones que quedan abiertas. Conclusiones provisionales.
Para inspiraros un poco os dejo una bonita canción francesa del grupo HK et les saltimbanks ("Les temps modernes"):
- Aforismos y microrrelatos.
Una novedad de este trimestre es la elaboración de aforismos o microrrelatos sobre algunos de los temas desarrollados durante el trimestre. Iremos poniendo algunos ejemplos en clase y en este blog.

- Trabajos en grupo.
Los trabajos en grupo versarán sobre alguna de las cuestiones del temario o de actualidad. Los grupos serán de entre 2 y 4 miembros. Deberá elegirse el tema y presentar un borrador a finales del mes de enero y su redacción y elaboración deberá estar preparada para finales del 2º trimestre. La presentación pública y definitiva del trabajo se hará en el tercer trimestre. Concretaremos entre todos las fechas.
En los trabajos habrá una parte escrita que constará de (máximo 10 folios):
a) Introducción, desarrollo histórico del problema y enfoques actuales.
b) Diagnóstico general de la cuestión o debate ético planteado.
c) Diagnóstico local de la cuestión.
Otra parte será la presentación de una parte práctica que vincule la reflexión con propuestas de actuación, de denuncia o de protesta (activismo ético)(Ver entradas anteriores del blog):
- Pequeñas representaciones teatrales, así como utilización de otras formas artísticas como el happening o la performance.
- Organización de coloquios-debates con invitad@s que puedan aportar enfoques interesantes al problema tratado, o apoyándonos en montajes audiovisuales, u otras formas de expresión plástica (carteles, panfletos, graffitis...).

lunes, 7 de enero de 2013

Alternativas: Crisis y Decrecimiento

En la actualidad constantemente se nos anuncia que la salida a la actual crisis económica vendrá de la reactivación del crecimiento económico, pues éste conducirá a la creación de puestos de trabajo y a la consiguiente reducción del paro. La teoría y el activismo social que se ha ido desarrollando en torno a la noción de decrecimiento trata de problematizar las supuestas bondades "naturales" de este modelo de crecimiento económico. Ni el crecimiento económico, especialmente en su modelo capitalista, se puede identificar con la creación de empleo, ni genera de manera necesaria más cohesión social. Sin olvidar que ese mismo modelo de crecimiento, que ahora se presenta como solución a la crisis , es una de sus principales causas; un modelo que además se ha caracterizado también por las agresiones medioambientales, el incremento de las diferencias Norte-Sur, o el desarrollo de un modo de vida esclavo ligado al consumismo.
 Los partidarios del decrecimiento proponen una disminución del consumo y la producción controlada y racional, permitiendo respetar el clima, los ecosistemas y los propios seres humanos. Esta transición se realizaría mediante la aplicación de principios más adecuados a una situación de recursos limitados: escala reducida, relocalización, eficiencia, cooperación, autoproducción (e intercambio), durabilidad y sobriedad. En definitiva, y tomando asimismo como base la simplicidad voluntaria, buscan reconsiderar los conceptos de poder adquisitivo y nivel de vida. (Fuente: wikipedia)

Les mouvements en faveur de la décroissance peuvent trouver comme précurseurs le vieux courant de pensée anti-industriel du XIXe siècle, situé à la lisière du christianisme et de certaines tendances du socialisme, qui s'est notamment exprimé en Grande-Bretagne à travers John Ruskin et le mouvement Arts & Crafts (1819-1900), aux États-Unis à travers Henry David Thoreau (1817-1862) et en Russie à travers Léon Tolstoï (1828-1911). On pourrait aussi citer comme autres précurseurs possibles, le luddisme, mouvement de sabotage sélectif de certaines machines, et aussi les premières formes du syndicalisme ouvrier.
La critique de la société de consommation véhiculée par ces mouvements, et l'esprit du mouvement antipub souvent proches de la décroissance, peuvent trouver des similitudes sur certains points avec les courants de pensée soixante-huitards, ainsi que certaines thèses de l'Internationale situationniste. Cette influence n'est cependant pas totale, car les décroissants adoptent généralement une vision plus réformiste que révolutionnaire (Source: wikipedia).

Os recomiendo una interesante lectura sobre el tema del decrecimiento que podéis incluir en vuestro trabajo para el segundo trimestre:
Carlos Taibo, El decrecimiento explicado con sencillez, Madrid, La Catarata, 2011.









En este libro su autor relata una historia ya conocida sobre lo que puede ser el modo de vida esclavo ligado al crecimiento por el crecimiento.
En un pequeño pueblo de la costa mexicana, un norteamericano se acerca a un pescador medio adormilado y le pregunta: "¿Por qué no dedica usted más tiempo a pescar?". El mexicano responde que su trabajo cotidiano le permite atender de manera suficiente a las necesidades de su familia. El norteamericano pregunta entonces: "¿Qué hace usted el resto del tiempo?". "Me levanto tarde, pesco un poco, juego con mis hijos, echo la siesta con mi mujer, por la tarde quedo con mis amigos. Bebemos vino y tocamos la guitarra. Tengo una vida plena." El norteamericano lo interrumpe: "Siga mi consejo: dedique más tiempo a la pesca. Con los beneficios podrá comprar un barco más grande y abrir su propia factoría. Se trasladará a la Ciudad de México, y luego a Nueva York, desde donde dirigirá sus negocios". "¿Y después?", pregunta el mexicano. "Después su empresa cotizará en bolsa y usted ganará mucho dinero." "¿Y después?", replica el pescador. "Después podrá jubilarse, vivir en un pequeño pueblo de la costa, levantarse tarde, jugar con sus hijos, pescar un poco, echar la siesta con su mujer y pasar la tarde con los amigos, bebiendo vino y tocando la guitarra..."

Para introduciros en el tema os dejo una entrevista a su autor, el profesor de Ciencias Políticas Carlos Taibo:

 

También podéis ver y escuchar el siguiente vídeo con las reflexiones de unos de los principales teóricos de la décroissance économique, el economista francés Serge Latouche:

 

CUESTIONES:
- ¿Qué opinas acerca de las propuestas de los defensores del decrecimiento? ¿Crees que puede ser una alternativa ética y política frente a la actual crisis?
 - ¿Cómo podrías desarrollar en tu entorno algunas de las medidas e iniciativas a favor del decrecimiento?